Octobre est de retour !

Et avec le mois d’octobre, arrive le cortège des challenges artistiques.

Cette année, j’ai opté pour des personnages cartoon en 3D, sur Nomad Sculpt, un petit logiciel de 3D sur tablette, comme ça j’ai pu pratiquer vautrée dans le canapé !! (Ne jugez pas, c’est l’hiver qui arrive, j’hiberne!)

Voici les thèmes qui étaient proposés et ce que j’en ai fait:

Végétal : le chou Bok choï
J’aime bien sa bouille un peu désabusée. Ce chou constitue mon premier succès sur Nomad, fait sans tuto, toute seule comme une grande. Tout ce qui a suivi, c’est un pur produit de mon imagination, et j’en suis très fière! Pas de tuto, pas d’inspiration autre que la mienne.

Le thé :
Le sachet a été réalisé pour l’occasion, mais j’ai repris une tasse d’une précédente réalisation. Oui, je commence à apprendre à réutiliser des œuvres précédentes pour accélérer le processus.

Le miroir:
Ici, j’ai commencé à rentrer dans l’ambiance Halloween. J’ai bien aimé associer le côté mignon des personnages, avec le côté flippant d’Halloween.

Le tarot:
J’vais pas vous mentir, j’étais pas du tout inspirée au départ. Mais au final, je suis contente, vu d’où je partais.

Le balai:
Et j’enchaîne dans l’esprit d’Halloween. Ici le challenge a été la toile d’araignée. Sculpter une toile, c’est pas si simple. Nomad Sculpt est beauuuucoup moins complet que Blender, il faut parfois ruser pour arriver à son objectif (mais c’est sa simplicité qui me plait justement!)

Le temps:
J’adore ma petite mort sympathique! Un des personnages préférés de ce challenge d’Octobre. J’ai bien galéré pour faire les bons réglages et rendre visible le sang qui s’écoule derrière le verre du sablier. Il a fallut là aussi astucer pas mal! Le sang est un peu émissif de lumière pour être bien visible.

Le dessert:
Pour le dessert non plus, je n’étais pas super inspirée. Pas évident de mettre de l’horrifique dans un dessert! Mais la petite scène me fait bien rire quand même.

Et le dernier: L’Autel!
Comme vous le voyez, j’ai réutilisé une araignée (pas la toile que j’ai dû refaire pour l’adapter à la scène)